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�UNIVERSITÉ DE ];'RANCE. -
ACADÉMIE DE NANCY.
INAUGURATION
DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE
ET
RENTRÉE DES FACULTÉS
DE DROIT, DES SCIENCES ET DESLE'l'.TRES
DE NANCY
I.e
1"
NoveIubre
1
NANCY
IMPRIMERIE DE BERGER-LEVRAUL'l' ET Cie.
11, nUE JEAN-LAMOUR, 11
1873
��DISCOURS
DE M. LE RECTEUR.
Notre séance de rentrée présente une solennité
mée. L'Académie de Nancy est devenue une véritable Université. «Je rétablis autant qu'il est en moi, écrit le Ministre de
l'Instruction publique, l'Université de Nancy l et je lui donne
toute la liberté dont une famille et un corps savant ont
besoin, sans rien ôter à ce qu'il y a d'efficace et de bienfaisant dans l'autorité centralc.» Les Facultés déjà existantes,
celles du droit, des sciences et des lettres, ont reçu leur
complément; nous installons aujourd'hui la Faculté de médecine, et pour marquer le caractère imposant de cette installation, il me suffira de jeter les yeux sur le cortége nombreux
et brillant dont je suis entouré.
La France possédait naguère dans ses provinces de l'Est
de célèbres et florissants établissements d'enseignement
supérieur. De douloureux événements les lui ont ravis.
L'obligation de les rapatrier était pour nous une dette patriotique. Une autre raison encore nous le commandait. Dans un
temps où le pays recueille toutes ses forces vives, il importait de ne pas laisser notre haut enseignement, surtout notre
enseignement médical, privé d'institutions qui faisaient partie
de son patrimoine, et d'hommes qui avaient contribué à sa
puissance et à son éclat. La politique, unie à de légitimes
pensées d'avenir, indiquait Nancy comme le quartier-général
où devaient se replier et se concerter nos forces intellectuelles
�10
RENTRÉE SOLENNELLE
pour se rallier au sein d'une Académie pleine elle-même
d'activité et de vie. M. le Ministre de l'Instruction publique,
s'inspirant de la pensée de l'illustre chef de l'État, a vu là
une patriotique nécessité; il s'est associé aux sentiments
exprimés par la ville de Nancy etpar les représentants des
départements de l'Est. L'Assemblée nationale à son tour a
voulu les partager et les sanctionner.
C'est ainsi que cette Université, créée il y a dix-huit ans
avec quelques pierres d'attente, voit poser aujourd'hui ses
dernières assises, et devient en un jour la plus brillante des
Universités françaises, la plus riche par le nombre des
chaires comme par la variété des enseignements.
Les Facultés de Nancy, assistées de l'École supérieure,
avaient su tirer un habile parti de leurs ressources, créer un
foyer d'enseignement déjà renommé, former par leur union
étroite et leur assujettissement volontaire à des règles communes un solide faisceau, conquérir enfin une rapide célébrité.
Les voici maintenant agrandies, fortifiées, presque doublées. Je n'en vois pas unG seule qui ne se soit ouverte à nOs
chers exilés de Strasbourg, heureux de retrouver au milieu
de nous les cadres de la patrie. En saluant: ces nouveaux
venus, j'ai le regret que leur nombre m'empêche de les
nommer tous et de rappeler les titres de chacun. D'ailleurs
ils ne viennent point ici cOmme des épaves isolées; ils
viennent comme un corps qui en se retirant a sauvé son
drapeau.
La Faculté de médecine, reconstituée sur les bases les plus
larges, comptant dans son sein des célébrités et des illustrations que nous pouvons opposer aussi bien aux Universités'
étrangères qu'aux autres Facultés françaises, doit à Nancy
rester jalouse de son passé et se montrer confiante dans
son avenir. La chaîne de ses traditions n'est pas brisée; elle
continuera à se dérouler glorieusement. Ce n'est pas seulement un asile que ml. les professeurs de Strasbourg trou.ve-
�DES FACULTÉS.
11
ront au milieu de nous; il y trouveront un concours empressé,
que je leur promets an nom de tous. Ils trouveront dans la
ville de Nancy, qui a aussi ses traditions dont elle est fière
ct de nobles ambitions qu'elle a su justifier, l'accueille plus
cligne d'eux, celui qu'une société éclairée, ayant le sens de
toutes les grandeurs intellectuelles et morales, saura faire.
à des hommes qui ont longtemps honoré la science française.
J'aurais voulu qu'une voix plus autorisée que la mienne
vînt les remercier de n'avoir pas désespéré d'eux-mêmes,
d'avoir sacrifiéleur repos, leurs affections, souvent leurs intérêts les plus chers, à une pensée de patriotique dévouement;
de s'être crus engagés par leur passé même et par la durée
ou l'éclat de leurs services; d'être enfin venus, sentant que
leur tâche n'était pas terminée, la continuer en apportant à
une Université restée française le concours de leurs forces,
de leur expérience et de leur renommée. Conserver, fortifier,
reconstruire à quelques égards les hautes études médicales
qui ont fait beaucoup de progrès, mais qui en ont beaucoup
à faire encore, parce que les conditions de l'enseignement se
sont transformées et que les exigences des services médicaux
vont sans cesse croissant, c'est là une tâche qu'ils auront
l'honneur d'avoir comprise comme un devoir,comme un devoir
pour lequel on ne marchande pas les sacrifices. Pour moi,
chargé par le Ministre de l'Instruction publique de souhaiter la
bienvenue à ces vétérans de la science qui sont aussi les victimes
de nos désastres, je sens trop en ce moment l'insuffisance de
mes paroles. Elles n'exprimeront jamais assez les sentiments qui
m'animent, et qui resteront au-dessous de ce que la France
leur doit. Je laisse à l'illustre doyen le soin de vous exposer
ce que sera sous sa puissante direction la Faculté de médecine de Nancy. Je n'ai pour le moment qu'un regret,
c'est que cette réunion si désirée dont nous scellons alljourd'hui le traité définitif, soit attristée par un souvenir de
deuil national, et ne puisse être l'occasion d'une de ces fêtes
auxquelles, en d'autres temps et d'autres circonstances, se
�12
SOLENNELLE
seraient associés avec bonheur les représentants attitrés du
pays et les princes de la science française.
Car, je ne saurais le proclamer trop haut, l'œuvre que
nous entreprenons est une œuvre nationale. Si la jeune
Université de Naney trouve dans ]e passé de la Lorraine des
souvenirs auxquels elle est fière et heureuse de se rattacher,
si, comme on me le rappelait aujourd'hui même, il y a juste
trois cents ans que nos aïeux célébraient, eux aussi, la création de l'Université ducale, le temps des Universités provinciales est passé. Nos Faeultés, tout en étendant plus partieulièrement leur action sur la régIon qui les avoisine, se
doivent au pays entier.
Quand, après des ébranlements terribles, le gouvernement
rétablit l'ordre, l'armée, le travail, les finances, le crédit
public, c'est encore dans un intérêt national qu'il rétablit les
études ébranlées comme le reste, et qu'il organise cIe grandes
Universités. Il faut donc que l'Université de Nancy, mieux
qu'aucune autre, parce qu'elle est des plus fortement constituées,contribue à relever le travail, le goût des études sérieuses
et sûrement dirigées. Il faut encore qu'elle fasse progresser la
science, une de nos gloires qui n'est pas perdue et que nous
saurons conserver. Les succès du haut enseignement et 10
progrès de la scienco ont toujours été inséparables.
Maintenant,Messieurs les professeurs, que le Gouvernement
a mis dans nos mains de puissants moyens d'études, qu'il a
fait appel il, notre dévouement, à notre initiative et il, nos
efforts, sa tâche est finie, la nôtre commence! C'est à nous de
répondre àsa confianee et de lui prouver qu'il l'a bien placée.
En matière d'enseignement, quelle que soit la valeur des
institutions, la valeur des hommes est supérieure. Nous
sommes clone responsables de l'avenir de cette Université. En
lui donnant la part principale à son propre gouvernement et la
liberté nécessaire à un eorps savant, M. le Ministre, dont je
répète les termes mêmes, ne fait que nous inspirer un sentiment plus élevé de
obligations et de nos devoirs.
�DES FACULTÉS.
13
Reconnaissons que la constitution de notre haut enseignement est vicieuse sur un point essentiel auquel il est urgent
de remédier: je veux parler de l'entassement de la jeunesse
à Paris, entassement mauvais, dangereux à tous les points de
vue, et malheureusement favorisé par trop de forces et de
courants. C'est là un péril dont la gravité effrayerait davantage si d'autres périls plus immédiats ne le faisaient un peu
oublier. Les nations étrangères n'ont pas donné dans cet
écueil. Imitons-les sur ce point. Rappelons aux extrémités le
sang qu'on a fait trop refluer au centre, et faisons quc la France
ait à Nancy son Cambridge ou son Oxford, dégagés, je le
dirai sans vanité pour nous comme sans dénigrement pour
d'admirables institutions, de traditions locales ou surannées.
La ville de Nancy, dont je vois ici les représentants les
plus autorisés, les plus distingués et les plus augustes, a cu,
ce sera l'une de ses gloires, le mérite de l'initiative en fait
de choses d'enseignement et de sciencc. Elle a voulu avoir
une Université, elle y a vu pour elle unc parure et une force.
Elle n'a pas marchandé les sacrifices nécessaires. Elle la possède aujourd'hui dans des conditions qu'aucune ville en
France n'égale, et que plus d'une peut lui envier. Il me
serait facile de citer les promoteurs de ce mouvement, les
auteurs de ce que je pourrais appeler la ligue de l'enseignemont supérieur.
10 nombre en serait grand, car je ne
vois autour de moi que des hommes qui ont résolument conspiré dans ce but, et ici encore la brièveté qui m'est imposée
ne me permet pas do citer des noms. Honneur à cette
tigable volonté, que le succès couronno au bout de
huit ans!
Pourtant ce palais, qui semblait trop vaste au début, est
insuffisant aujourd'hui. Notre installation matérielle a besoin
d'être complétée. La Faculté de droit et la Faculté des lettres, dotées de cours nouveaux, se plaignent d'étouffer dans
leur enceinto trop étroite. La Faculté des sciences, dont le
�14
RENTRÉE SOLENNELLE
personnel a doublé et qui a reçu cette année de la libéralité
de M.le Ministre des dons importants, n'a obtenu que récemment pour quelques-uns de ses laboratoires et de ses cours
pratiques, des salles tout à fait provisoires. La Faeulté de
médecine et l'École de pharmacie qui lui est temporairement
attachée, trouveront sans doute dans les salles de l'ancienne
école et dans le bâtiment voisin une installation, je me plais
à le reconnaître, suffisante pour les cours, convenable pOUl'
une partie de leurs services, précieuse pour leurs collections.
Je veux ici rendre hommage au zèle actif de notre municipalité. Elle s'est dévouée résolument depuis plusieurs mois
à une tâche difficile, et grâce à elle des retards presque inévitables ont été évités. Mais les }:Jâtiments pour l'anatomie,
les laboratoires des études pratiques, je ne parle pas des services hospitaliers de la ville appelés à de prochaines et profondes modifications, nous font presque entièrement défaut.
Heureusement les études des constructions qui doivent C01npIéter l'établissement définitif sont près d'être terminées, et
les fonds votés par la ville et le conseil général assurent à la
Jj""'aculté d'importantes ressources.
Les sciences,les sciences médieales surtout, ont pris aujourd'hui un caractère envahissant. Procédant par des expériences répétées, forcées de vivifier l'enseignement par de
continuelles recherches, elles exigent un matériel et des
ressources considérables. Les Facultés scientifiques sont donc
nécessairement de très-vastes établissements qu'on ne saurait
organiser à demi. Il faut qu'ils soient complets ou qu'ils 11e
soient pas; car l'outillage scientifique est aussi nécessaire
pour assurer le succès dans les combats de la scienee que
l'outillage industriel dans les combats de l'industrie. J\ifais,
avant peu de semaines, les vitri11es (lu bâtiment voisin pourr011t étaler de riches collections dues à la prévoyance généreuse de M.le J\finistre, et je ne doute pas que dans un avenir
prochain la Faeulté de Nancy n'ait rien it envier à ses
rivales.
�DES FACULTÉS
15
Qu'elle se place clemain, comme je n'en doute pas, au premier rang de la France et de l'Europe savante, et demain,je
n'en doute pas non plus, nous verrons se presser autour d'elle
une jeunesse attirée par sa renommée. Cette jeunesse sera
inévitablement plus nombreuse le jour où de passagères difficultés se seront aplanies, où elle sera sùre d'avoir, elle aussi,
son installation, et 011 la certitude de trouver réunis les
moyens d'études les plus complets dans un milieu universitaire des plus favorables et des plus féconds, exercera SUl:
elle un attrait particulier.
Il faudra aussi que ce milieu soit éminemment sain pour
la jeunesse studieuse. Il faudra que des rapports plus fréquents s'établissent entre les professeurs et les élèves, que
les exercices pratiques se multiplient, qu'il se crée dès l'école
une sorte de discipline professionnelle. Mais la sollicitude
connue de la Faculté, le passé et les conditions constitutives
de l'Université de Nancy, nous font espérer la réalisation
facile de ce programme.
Il me reste à exposer brièvement l'histoire de nos Facultés
pendant cette année.
La Faculté de droit possède aujourd'hui les deux chaires
nouvelles promises l'année dernière, une chaire de droit criminel et une chaire de droit romain. Elle a quatre cours pour le
doctorat et des conférences pour tous les examens. Je cons'
tate avec bonheur que le nombre de ses épreuves de doctorat
s'est élevé de 20 à 36. Le public compétent, en particulier
Messieurs (le la magistrature, savent combien ces épreuves
sont sérieuses et graves. Espérons que la progression de
nombre augmentera encore. Quant à la sévérité de la Faculté,
je puis affirmer qu'elle ne faiblira pas.
La Faculté des sciences, organisée il y a dix-huit ans sur
le type ancien, ne possédait qu'un nombre de chaires restreint;
elle ne pouvait étendre son enseignement qu'au moyen de
cours complémentaires irréguliers et insuffisants. Trois
veaux professeurs et un chargé de cours venus de Strasbourg
�16
IIENTRÉE SOLENNELLE
ont doublé ses forces. La chimie agricole et les diverses
branches des sciences possèdent aujourd'hui l'enseignement
le plus largement organisé.
Je serai l'interprète du vœu public en exprimant à l'honorable::LVi. Godron, 9rganÎsateur du lIusée d'histoire naturelle et du Jardin botanique de Nancy, les souvenirs que la
Faculté gardera de ses dix-huit ans de décanat, et le regret
qu'elle a éprouvé de le voit prendre avant l'âge un repos
anticipé.
Son successeur, l'ancien doyen de la Faculté des sciences
de Strasbourg, soulève aujourd'hui, devant le Conseil académique, la question de savoir si les avantages exclusifs
attribués à quelques grandes écoles de Paris, comme l'École
polytechnique, doivent être maintenus; s'il ne serait pas
nécessaire d'admettre que les mines, les ponts-et-chaussées,
les écoles militaires savantes, se recrutent par la conCUTI'ence
des élèves libres formés par les Facultés, ces Facultés qui
n'existaient pas au temps de Fourcroy et qui existent aujourd'hui. Question grave, qui n'est pas absolument nouvelle,
mais qui maintenant est mûre et s'impose à la discussion des
Universités, particulièrement de celle de Nancy.
Il y a:lrait encore lieu d'examiner si l'enseignement scientifique ou littéraire des lycées, que tout le monde s'accorde
à reconnaître trop chargé, et que des circulaires ministérieUes récentes ont eu précisément pour but d'alléger, ne
devrait pas être mis mieux en harmonie avec l'enseigneIp.ent des Facultés; s'il n'y aurait pas lieu de modifier en ce
sens les conditions et les programmes actuels des examens.
MM. les doyens des sciences et des lettres d6plorent en
commun la routine en quelque sorte fatale qui s'impose plus
ou moins à la majorité des candidats, et les conduit à préférer la médiocrité à un succès de bon aloi.
La Faculté des lettres a développé plusieurs de ses enseignements et d'abord celui de l'antiquité, renouvelé depuis
quelques années par les travaux modernes, en tête des-
�DES FACULTÉS.
1i
quels je dois d'autant mieux citer ceux de l'école d'Athènes
que plusieurs des membres les plus distingués de cette
école sont aujourd'hui parmi nous. L'enseignement des langues étrangères, et celui de la géographie, devenu un des
objets préférés de l'attention publique, ont été aussi l'objet de
mesures
Si la cx:ainte de trop prolonger cette cérémonie ne m'eût
arrêté, j'eusse désiré que J\lIlYI. les doyens pussent, conformément à l'usage, traiter plus largement devant vous tous ces
sujets dont l'intérêt ne se borne pas à la jeunesse seule et aux
hommes d'enseignement. Car nous avùns, nous autres universitaires, ce privilége heureux que si toutes les spécialités
ont des représentants dans nos chaires, la plupart des questions que nous abordons n'en offrent pas moins un intérêt
général et élevé auquel tout le monde peut et doit s'associer.
Nous aimons à parler au public et.à discutcr devant lui,
parce que nous le regardons comme étant des nôtres, parce que
son concours est notre force, parce que la prospérité et l'éclat
du haut enseignement sont les conditions vitales de cette
grandeur de la France, que par de communs efforts tous
les membres de la société française doivent conspirer à
rétablir.
JYlessieurs, quelles que soient aujourd'hui les incertitudes
ou les préoccupations divergentes auxquelles notre société est
livrée, il est un fait heureux qui ne saurait être trop constaté,
c'est la grande, l'immense place que les questions d'enseignement tiennent dans les esprits. Tout le monde a senti que
c'étaient là des questions vitales, dont nul ne devait se
Si extrême que soit la. variété des opinions, il
n'y a qu'une voix, il n'y il, qu'un vœu pour élever l'enseignement populaire. Laissez-moi ajouter que nos tentatives
pour l'épandre et vulgariser cet enseignement populaire
resteraient vaines si l'e:r.seigne111ent supérieur ne s'élevait
et ne montait à sor. tour. Ayons donc toujours les yeux levés
en haut, et n'oublions pas que si une bonne armée eXIge
�18
RENTREE SOLENNELLE DES FACULTÉS.
de bons soldats, elle n'exige pas moins impérieusement de
bons chefs.
C'est aux fortes Universités à former ainsi une élite
d'hommes capables d'honorer et de servir le pays. Dieu
aidant, nous ne perdrons pas de vue cette noble mission et
ce difficile devoir.
Je ferai en terminant un appel à là jeunesse qui assiste à
cette réunion. Nous avons pu, l'année dernière, honorer le
dévouement qu'elle a montré en prenant à la défense de la
patrie une part méritoire, trop souvent mêlée de deuil. Ellc
lui doit aujourd'hui un autre dévouenient, celui du travail,
de la discipline, la poursuite de ces qualités (,t de ces ,vertus
civiles qui pourront seules relever le pays. Qu'elle vienne
les apprendre à nos écoles. Elle pourra compter sur nous i
nous voulons compter sur elle.
�
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
1872 - Inauguration de la Faculté de médecine et rentrée des Facultés de droit, des sciences et des lettres de Nancy, le 19 Novembre 1872
Description
An account of the resource
<ol><li>Académie de Nancy. Administration Académique. p.1. </li>
<li>Académie de Nancy.Conseil Académique. p.1. </li>
<li>Académie de Nancy. Enseignement Supérieur. Faculté de droit. p.2. </li>
<li>Académie de Nancy. Enseignement Supérieur. Faculté de médecine. p.2-4. </li>
<li>Académie de Nancy. Enseignement Supérieur. Faculté des sciences. p.4. </li>
<li>Académie de Nancy. Enseignement Supérieur. Faculté des lettres . p.4. </li>
<li>Procés-Verbal de la séance. p.5-7. </li>
<li>Discours de M. Le Recteur. p.9-18. </li>
<li>Rapport de M. Le Doyen de la Faculté de droit. p.19-36.</li>
<li>Discours de M Le Doyen de la Faculté de médecine. p.37-46. </li>
<li>Rapport de M. Le Doyen de la Faculté des sciences. p.47-60. </li>
<li>Rapport de M. Le Doyen de la Faculté des lettres. p.61-80. </li>
<li>Rapport de M. Ed. Simonin, Directeur de l’École de médecine et de pharmacie. p.81-87. </li>
<li>Notes. p.88. </li>
<li>Rapport sur les concours entre les étudiants de la Faculté de droit de Nancy pour l’année 1871-1872, par M. Paul Cauwès, agrégé. p.89-100. </li>
<li>Distribution des prix. Faculté de Droit. p.101-104. </li>
<li>Distribution des prix. Ecole de médecine et de pharmacie. p.105-106. </li>
<li>Lettre de M. Jules Simon, Ministre de l’Instruction Publique à M. Le Doyen de la Faculté de médecine. p.107-116.</li>
</ol>
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1872
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Discours de M. Le Recteur
Subject
The topic of the resource
Discours du Recteur
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
DARESTE De La CHAVANNE, Antoine
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Imprimerie de Berger-Levrault et Cie. 11, Rue Jean-Lamour, 11
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1873
Contributor
An entity responsible for making contributions to the resource
Direction de la Documentation et de l'Edition (Université de Lorraine); Institut François Gény (EA 7301 Université de Lorraine); Décanat de la Faculté des Sciences (Université de Lorraine); Décanat de la Faculté de Droit Sciences économiques et gestion de Nancy (Université de Lorraine); Maison des sciences de l'homme Lorraine (Université de Lorraine); Bibliothèque-médiathèque de Nancy
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Language
A language of the resource
fr
Type
The nature or genre of the resource
publication en série imprimée
Coverage
The spatial or temporal topic of the resource, the spatial applicability of the resource, or the jurisdiction under which the resource is relevant
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5ac57e68748fd8d09cf139f22c372b7c
PDF Text
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COMPTES RENDUS
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ET DE
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RAPPORTS SUR LES CONCOURS
NANCY
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DISTRIBUTION DES PRIX
FACULTÉ DE DROIT
M. MAY, agrégé, chargé de cours à la Faculté de Droit, a donné
lecture de la liste des concurrents qui ont obtenu des prix et des
mentions honorables, conformément au procès-verbal ci-après :
Extrait du procès-verbal de la séance du 7 août 1880.
«
«
« Il a été procédé à l'ouverture des enveloppes cachetées dans
lesquelles étaient renfermés les bulletins indiquant les noms des
concurrents.
« D'après le rapprochement fait entre les devises portées sur les
dissertations jugées dignes de récompenses et les mêmes devises
« 'portécs sur les enveloppes, les prix et les mentions honorables ont
« été décernés dans l'ordre suivant»
«
PRIX DONNÉS PAR L'ÉTAT.
CONCOURS DE TROISIÈME ANNÉE.
Droit romain.
(Médailln d'argcnt). M. CHESNEY (I<'erdinand), né à Xancy
(:\1eurthc), le 7 avril 1858.
2" Prix (Médaille de bronze). M. NACHBAUR (Paul-Alphonse -Eugène), né à Colmar (Haut-Rhin), le
14 anil 1860.
ME:>lTION
.••••••. M.
BARADEZ (Ferdinand - Marie Louis), né à Kallcy (lVleurthe), le 24
janvier 1858.
1cr
PRIX
Droit français.
2"
PRIX
(Médaille de hrollze). M. NACHI3AUR (Panl-Alphonse-Eugène), né à Colmar (Haut-Rhin), le
14 avril 18GO.
�IH
SiAXCE DE DEXTOiE.
PRIX DONNÉS PAR LES CONSEILS GÉNÉRAUX
DE
MEl: It '1' JI E - E
l' - li 0
SEL 1. E,
DEL A
li EU:; E
ET
DES
VOS G E a.
CONCOURS DE SECONDE ANNÉE.
Code civil.
1cr PRIX (Médaille d'argent). M. GEORGEL (Paul-Louis-Marie-Stanislas), né à
(Meurthe), le 16
mai 1859.
2c PRIX
de bronze). M. CLAUDE (Charles-:\farie-.Julcs),
à
(Vosges), le
9 juillet 1861.
MENTION TRÈS-IIONORABJ.E .... M. GÉNY (François), né à Baccarat
(Meurthe), le 17 décembre HW!.
MENTION HONOI!ABr.E .. , .. , . M. BAUR
né à Marmoutier (Bas-Rhin),le 25 septembre 1860.
Procédure civile.
1er
PRIX (Médaille d'argent). M. GAUCKLER (Philippe-Édouard), né
il. Wissembourg (Bas-Rhin), le 26
juin 1858.
2e PRIX (Médaille de bronze). M.
né à Baccarat
(Meurthe), le 17 décembre 1861.
MBNTIOX TRÈS-HONORABI.E. " M. CLAUDE (Charlcs-:\f:trie-Jules), né
à Charmes-sur-Moselle (Vosges),
ic
9 juillet 1861.
l\hXTION HONORABLE ..... " M. GEORGEL (Paul-Louis-:\larie-Stanislas), 11é à Xallcy (Meurthe), le 16
mai 1859.
CONCOURS DE PREMIÈRE ANNÉE.
Droit romain.
1 er Pmx (Médaille d'argent). M. FIETTA (Marie-Dieudonné-PierrePaul), né à Strasbourg (Bas-Rhin),
le 19 octobre 1859.
2e
l'nIX
(l\Iédaille de bronze). M. BERTHOLD (Jules-Heuri-XaYier),
néà Dambelin (Doubs), le 6 mai ]861.
�DISTRIBt:TION ilES PRIX.
l'"
175
M. STAINVILLE (Ilcuri-Louis-Dieu-
MENTION Il ON 0 IL\IlI,E ••. '
donné), né à Saillt-Nicolas-dll-Port
(Mcurthc), le 25 août 1860.
2·
M. FOURCADE
nô
à Pradcs (Pyrénées-Orientales), le 5
MENTION HONORABLE ..•••
août 1862.
Code civil.
1 cr PIlIX (Médaille d'argent). M. FIETTA (Marie-Dieudonné-PierrePaul). né il Strasbourg (Bas-Rhin), le
19 uctobre 1859.
2° Pnlx (Médaille de bronze). :\1. BERTHOLD (.Jnles-Henri-Xavier),
né il Dambelin (Doubs),le6 mai 186l.
. M. FOURCADE (.Jaeques-l\1anucl), lHi
iL Prades (Pyréllées-Orientales), le 1)
l'" MENTION 1I0NORABI,E , aOllt 1862.
l
ex œqlto. . . . .
jr.1.
,
STAINVILLE
donné), né il Saint-Nicolas-de-Port
(Meurthe), le 25 aOllt 1860.
2"
MENTION HONORABLE
••..
M. PELLIER
né il l'aris(Seille), le31jallvier 1859.
FACULTÉ DE MÉDECINE
Aux termes des arrêtés de 185·4, il est distribué anlluellement, dans
la Faenlté de médecine de Nancy, quatre prix et des mentions honorables,
le résultat de quatre conconrs distincts, eorrcspondant
il chacune des quatre ann{)es d'étn(les.
Les jnrys chargés de prononcer. cette année, sur le mérite des
épreuvp.H, ont décerné les récompenses daus l'ordre suivant :
PREMIÈRE ANNÉE IrI':TUDES
Chimie, Physique et Histoire naturelle.
Prix: M. LEnox (.TnleR-Paul), né le 14 septembre 1861, il Juvrecou rt pIeu
Me.ntion !tonomble : M.
(J
né le 17 octobre 1860,
il Paglly Olells,">
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Title
A name given to the resource
1880 - Comptes Rendus des Travaux des Facultés et de l'École Supérieure de pharmacie et Rapports sur les concours
Description
An account of the resource
<ol><li>Académie de Nancy. Administration Académique. p.5.</li>
<li>Académie de Nancy. Conseil Académique. p.6.</li>
<li>Académie de Nancy. Enseignement Supérieur. Faculté de droit. p.7.</li>
<li>Académie de Nancy. Enseignement Supérieur. Faculté de médecine. p.8-9.</li>
<li>Académie de Nancy. Enseignement Supérieur. Faculté des sciences. p.9. </li>
<li>Académie de Nancy. Enseignement Supérieur. Faculté des lettres. p.9-10. </li>
<li>Académie de Nancy. Enseignement Supérieur. École Supérieure de pharmacie. p.10. </li>
<li>Procés-Verbal de la séance. p.11-12. </li>
<li>Discours sur les travaux de la Faculté de droit de Nancy de 1864 à 1879 par M. Lederlin. p.13-40. </li>
<li>Discours de M. Le Recteur. p.41-56. </li>
<li>Rapport de M. Lederlin, Doyen de la Faculté de droit, sur les Travaux de la Faculté pendant l'année scolaire 1879-1880. p.57-70. </li>
<li>Publications des Membres de la Faculté de droit pendant l'année scolaire 1879-1880. p.71-72. </li>
<li>Rapport de M. Tourdes, Doyen de la Faculté de médecine sur les Travaux de la Faculté pendant l'année scolaire 1879-1880. p.73-95. </li>
<li>Publications des Membres de la Faculté de médecine pendant l'année scolaire 1879-1880. p.96-99. </li>
<li>Rapport de M. Le Doyen de la Faculté des sciences. p.101-103. </li>
<li>Appendice. Paroles prononcées sur la tombe de M. Renard. p.114-116.</li>
<li>Appendice. Paroles prononcées sur la tombe de M. Godron. p.116-121.</li>
<li>Rapport sur l'enseignement et les examens dans la Faculté des lettres de Nancy (1879-1880). p.123-147.</li>
<li>Rapport de M. Le Directeur de l'École Supérieure de pharmarcie. p.149-161.</li>
<li>20.Publications des Membres de l'École Supérieure de pharmacie pendant l'année scolaire 1879-1880. p.162-163.</li>
<li>Rapport sur les concours entre les étudiants de la Faculté de droit de Nancy pendant l'année scolaire 1879-1880, par M. May, Agrégé à la Faculté. p.165-171.</li>
<li>Distribution des prix. Faculté de droit. p.173-175.</li>
<li>Distribution des prix. Faculté de médecine. p.175-177.</li>
<li>Distribution des prix. École Supérieure de pharmacie. p.177-178.</li>
<li>Table. p.179.</li>
</ol>
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1880
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Distribution des prix. Faculté de droit.
Subject
The topic of the resource
Prix relatifs à la Faculté de droit.
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MAY
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Imprimerie de Berger-Levrault et Cie. 11, Rue Jean-Lamour, 11
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1881
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Direction de la Documentation et de l'Edition (Université de Lorraine); Institut François Gény (EA 7301 Université de Lorraine); Décanat de la Faculté des Sciences (Université de Lorraine); Décanat de la Faculté de Droit Sciences économiques et gestion de Nancy (Université de Lorraine); Maison des sciences de l'homme Lorraine (Université de Lorraine); Bibliothèque-médiathèque de Nancy
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ba5fe4cfcc5a2669d0d7d28a1b7977fd
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Text
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DES
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FACULTES DE NANCY
��UNIVERSITÉ DE FRANCE. -
ACADÉMIE DE NANCY
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DES FACULTÉS
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DE "NANCY
Le
I
6 Novembre
I
87 5
NANCY
J M P RI M E R I E. D E
ll,
B E R G E R - L E V l{ A U L T E 'l' Ci•
UUE JEAN-LAMOUR,
"1875
11
��PROCÈS-VERBAL
DE LA $ÉANOE.
La séance solennelle de la rentrée des Facultés
de droit, de médecine, des sciences et des lettres de
Nancy, a eu lieu le mardi 16 novembre 1875; sous
la présidence de M. Jacqùinet, Inspecteur général
honoraire de l'instruction publique, recteur de l' Académie.
A onze heures du matin, MM. les membres du
Conseil académique, MM. les Doyens et Professeurs
des Facultés assistaien,t à la messe du Saint-Esprit,
qui a été célébrée, dans le palais de l'Académie, par
M. l'abbé Voinot, vicaire général.
. La séance publique s'est ouverte à midi .dans le
grand amphithéâtre de la Faculté des lettres. M. le
Recteur a pris place sur l'estrade occupée par M.M.les
Inspecteurs d':A.cadémie de Meurthe-et-Moselle, de la
Meuse et des Vosges, les. Doyens et les Professeurs
�8
SÉANCE DE RENTRÉE.
des quatre Facultés, le Proviseur et les Professeurs
du Lycée.
M. Leclerc, Premier Président de la Cour d'appel,
M. le Général de division Abbatucci, M. le marquis de
Chambon, Préfet de Meurthe-et-Moselle, M. le Général de Verneville, M. Dufresne, Procureur général
près la Cour d'appel, M. le comte de Lambel, Membre
du Conseil général et du Conseil académique, M.l'abbé
Jambois, Vicaire général, Membre du Conseil académiqùe; M. le Général Didion, M. Maggiolo, Recteur honoraire, M. Pierson, Président de Chambre
honoraire de la Cour d'appel, M. Angenoux, Avocat
général près la Cour d'appel, M. Quenot, Colonel
du 26 6 de ligne, MM. Baradez, Lestaudin, Sidrot,
Adjoints au Maire de Nancy, lVi. Chassignet, Sous:.
Intendant militaire, M. Viller, Ingénieur en chef,
M. Ragon, Conseiller honoraire de la Cour d'Appel,
ont pris place aux premiers rangs de l'Assemblée.
MM. les étudiants en, droit et en médecine occupaient les tribunes.
M. le Recteur a ouvert la séance par un discours;
puis il a donné successivement la parole à MM. Jalabert, Doyen, de la Faculté de droit, Stoltz, Doyen de
la Faculté cl.e médecine, Chautard, Doyen de la Faculté des sciences, Benoît, Doyen de la Faculté des
�PROOÈS·VERJ!AL.
9
lettrés, et à M. Blondel, Agrégé, chargé du rapport
sur les concours ouverts entre les étudiants en droit.
La séance a été terminée par la lecture des listes
des étudiants en droit et en médecine qui ont obtenu
des prix et des mentions honorables dans les concours de l'année scolaire 1874-1875, et par la distribution des- médailles.
Les noms des lauréats ont été proclamés par
M. Blondel, Agrégé près la Faculté de droit, et par
M. Bernheim, Agrégé près la Faculté de médecine.
La séance étant levée à deux heures, les autorités
et une partie des assistants se sont rendus dans les
bâtiments, contig·us au Palais académique, de la nouvelle Faculté de médecine, accompagnés du Recteur,
du Doyen de la Faculté et des Professeurs .des diverses Facultés. La visite aux amphithéâtres, aux col,.
lections, aux laboratoires, aux cabinets d'étude des
professeurs, a duré près d'une heure. M. le Doyen
Stoltz et MM. les Professeurs de la Faculté de médecine ont fait aux visiteurs les honneurs des installations récemment achevées de ce grand établissement.
��
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A name given to the resource
1875 - Rentrée Solennelle des Facultés de droit, de médecine, des sciences et des lettres de Nancy, le 16 novembre 1875
Description
An account of the resource
<ol><li>Académie de Nancy. Administration Académique. p.1.</li>
<li>Académie de Nancy. Conseil Académique. p.2.</li>
<li>Académie de Nancy. Enseignement Supérieur. Faculté de droit. p.3.</li>
<li>Académie de Nancy. Enseignement Supérieur. Faculté de médecine. p.4-5.</li>
<li>Académie de Nancy. Enseignement Supérieur. Faculté des sciences. p.6.</li>
<li>Académie de Nancy. Enseignement Supérieur. Faculté des lettres. p.6.</li>
<li>Procés-Verbal de la séance. p.7-9.</li>
<li>Discours de M. Le Recteur. p.11-21.</li>
<li>Rapport de M. Le Doyen de la Faculté de droit. p.23-35.</li>
<li>Appendice au rapport du doyen. Publications juridiques ou littéraires des membres de la Faculté de droit pendant l’année scolaire 1874-1875. p.36-37.</li>
<li>Rapport de M. Le Doyen de la Faculté de médecine. p.39-53.</li>
<li>Travaux personnels des professeurs, agrégés et adjoints de la Faculté de médecine et de l’École Supérieure de pharmacie. p.54-58.</li>
<li>Rapport de M. Le Doyen de la Faculté des sciences. p.59-70.</li>
<li>Publications des membres de la Faculté des sciences pendant l’année scolaire 1874-1875. p.71-74.</li>
<li>Liste des travaux scientifiques d’E. Baudelot. p.75-76.</li>
<li>Rapport de M. Le Doyen de la Faculté des lettres. p.77-93.</li>
<li>Rapport sur les concours entre les étudiants de la faculté de droit de Nancy, pendant l’année scolaire 1874-1875, par M. Raymond Blondel, Agrégé, Chargé de cours. p.95-105.</li>
<li>Distribution des prix. Faculté de droit. p.107-109.</li>
<li>Distribution des prix. Faculté de médecine. p.110.</li>
<li>Distribution des prix. Ecole Supérieure de pharmacie. p.111.</li>
<li>Table. p.112.</li>
</ol>
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1875
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A name given to the resource
Procés-Verbal de la séance
Subject
The topic of the resource
Discours Officiel
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Université De France / Académie de Nancy
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Imprimerie de Berger-Levrault et Cie. 11, Rue Jean-Lamour, 11
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Imprimerie de Berger-Levrault et Cie. 11, Rue Jean-Lamour, 11
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Direction de la Documentation et de l'Edition (Université de Lorraine); Institut François Gény (EA 7301 Université de Lorraine); Décanat de la Faculté des Sciences (Université de Lorraine); Décanat de la Faculté de Droit Sciences économiques et gestion de Nancy (Université de Lorraine); Maison des sciences de l'homme Lorraine (Université de Lorraine); Bibliothèque-médiathèque de Nancy
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The spatial or temporal topic of the resource, the spatial applicability of the resource, or the jurisdiction under which the resource is relevant
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